woensdag 17 juni 2009

Cours du 2 juin 2009

Le dernière cours de cette année. Nous avions cours dans la salle informatique pour travailler sur les webquest des autres.
Ensuite, on a pris des rendez-vous avec Rosa pour l’entretien.
Enfin, je vous souhaites à tous et à toutes de bonnes vacances et profitez bien de vos congés.

Rosa, Superbe et bravo pour les cours. Merci!

Cours du 26 mei

Ce jours il y avait des présentations des différents courants littéraire. Ensuite, on a parlé sur la didactisation des différents texte qu’on a préparé.’

Cours du 19 mei 2009

Les étudiants Teresa et Chris ont présente le naturalisme. J’ai presque rien compris et j’ai trouvé ça pas bien. Car il y a des étudiants qui comprennent pas l’allemand. Donc, c’est dommage !
Après, Bas nous a présenté : comment didactiser un texte littéraire. C’était très intéressant.

DE 1945 À … ICI ET MAINTENANT

Après la deuxième Guerre Mondiale venait une époque de pessimisme. La Guerre froide, L’Indochine, la guerre d’Algérie, les armes atomiques, les gens perdaient l’espoir que le monde deviendrait une place paisible. On doutait à la légitimité des autorités, on était dégoûté des armes et la religion perdait du terrain. Bref, on voulait de nouveau la liberté. L’existentialisme mettait ces idées en pratique : selon les existentialistes, la vie était absurde et l’homme était seul. Il vit dans un monde de chaos, mais il vit dans ce monde comme un homme libre et ainsi il responsable de sa propre destinée. Ce qu’il ne faut pas faire est se laisser guider par la politique ou la religion. Les deux auteurs les plus importants de ce courant littéraire sont Jean-Paul Sartre et Albert Camus. Ses deux auteurs essayaient de comprendre la situation de l’homme tel qu’il était. Sartre approchait cette question du côté de la philosophie : il a longtemps étudié la phénoménologie, et pour Sartre, l’existence précède l’essence. Pour lui, l’homme est d’abord, et ensuite il est ce qu’il fait. Camus trouvait que l’homme devait se révolter contre tout, jour après jour. Il est le plus connu pour sa philosophie de l’absurde, une philosophie qu’on retrouve dans plusieurs de ses romans, comme L’Etranger. Cette idée de l’absurde résultait, en roman, dans un courant qu’on connaît sous le nom de Nouveau Roman. Les nouveaux Romanciers essayaient d’écrire des romans sans chronologie classique, sans personnages bien définis et avec un style très différent. En théâtre aussi, il devenait difficile de retrouver des histoires, comme dans En Attendant Godot. Il semble que rien ne se passe vraiment dans ces pièces, et on n’apprend pas grand-chose sur les personnages non plus.

Pendant la changement de la République, on voit beaucoup de changements de différentes natures. La fin des colonies et la naissance de la Francophonie par exemple. Dans les années soixante-dix, la situation des femmes s’améliorait grâce aux féministes et les années quatre-vingt étaient les années des manifestations. François Mitterrand crée les grands travaux de Paris ; sa propre façon de laisser sa marque sur la capitale du pays. De nos jours, il est encore possible de visiter les bâtiments qui ont été érigé pendant les deux septennats de Mitterrand ! Pensez au Musée d’Orsay et le Centre Pompidou par exemple. Un changement bien récent et peut-être le plus bouleversant est la venue de l’euro.

Tous ces changements ont eu leur effet sur la littérature. On ne peut plus vraiment parler de courants littéraires, on parle plutôt de tendances littéraires. Il y a les Postmodernes, qui mélangent les genres et qui jouent avec l’intertextualité et le chaos dans leurs oeuvres. Le plus connu, c’est l’OuLiPo, l’Ouvroir de la Littérature Potentielle. Des hommes comme Raymond Queneau et Georges Perec ont crée des œuvres intéressantes à partir de certains contraintes qu’ils se sont imposés en avance ! Beaucoup d’auteurs écrivent des œuvres autobiographiques ou des récits de voyages et les femmes écrivent plus que jamais ! La littérature des pays francophones devient de plus en plus populaire et l’intimité (physique) est un thème que beaucoup d’auteurs adorent. La littérature moderne se trouve au centre de la société, et la poésie, le roman et le théâtre connaissent de grands succès.


On voit aussi un nouveau genre de littérature, au moins selon certains groupes de personnes : les paroles de chansons. Il y a certains aspects de poésie dans beaucoup de chansons françaises, et il y en a qui se lisent aussi facilement qu’on les écoute. N’oublions pas que certains chanteurs ont chanté des textes qui étaient d’abord des poèmes publiés dans un recueil

de nos jours, les auteurs font eux-mêmes aussi le sujet de films…


Déclaration d’amour - René-Guy Cadou

Je t’aime
Je te tiens à mon poing comme un oiseau
Je te promène dans la rue avec les femmes
Je puis te rouer de coups et t’embrasser
O poésie
En même temps
T’épouser à chaque heure du jour
Tu es une belle figure épouvantable
Une grande flamme véhémente
Comme un pays d’automne démâté
Tu es ceinte de fouets sanglants et de fumées
Je ne sais pas si tu t’émeus
Je te possède
Je te salis de mon amour et de mes larmes
Je te grandis je te vénère je t’abîme
Comme un fruit patiemment recouvert par la neige.


Pour un art poétique V – Raymond Queneau

Bon dieu de bon dieu que j’ai envie d’écrire un petit poème
Tiens en voilà justement un qui passe
Petit petit petit
Viens ici que je t’enfile
Sur le fil du collier de mes autres poèmes
Viens ici que je t’entube
Dans le comprimé de mes œuvres complètes
Viens ici que je t’enpapouète
Et que je t’enrime
Et que je t’enrythme
Et que je t’enlyre
Et que je t’enpégase
Et que je t’enverse
Et que je t’enprose

La vache
Il a foutu le camp
Raymond Queneau…au pluriel ?

Danseuse – Andrée Sodenkamp

Quitte du bout du pied ta charnelle présence…
Déjà tremble sur toi le plaisir de la danse.

Délie tes bras légers comme de faibles branches.
Perds au feu des clartés tes pas, ces roses blanches.

Tu sembles née du jeu de ton heureux délire.
Une herbe sous le vent, la terre qui respire.

Tu parais t’enrouler mille fois sur toi-même.
Tu t’inventes, renais et te perds et te sèmes.
Le monde autour de toi croule en murailles d’or.
Tu reviens donc doucement au bord de ton haleine
Et tu refais, serré, le bouquet de ton corps…


Et puis la terre – A.S.I.E. (paroles Patrick Bruel e.a., écrits pour les victimes du Tsunami 2004)
Un éclat de rire dans les rochers
Deux amoureux qui s'éclaboussent
Le ciel se mêle à l'eau salée
Une femme qui tresse un panier
Un petit garçon dans le sable
Construit un château bien ...etc

Sources:

http://www.la-litterature.com/dsp/dsp_display.asp (Histoire de la littérature)

Le Romantisme

Au dix-neuvième siècle, les idées des Rationalistes ont été abandonnées. Le sentiment gagnait du terrain sur l’esprit, et les Romantistes donnaient l’espace à la fantaisie afin d’échapper à la réalité trop dure et trop cruelle. Les Rationalistes étaient trop froids et trop penseur, il fallait sentir la vie, on devait se révolter ! Déjà Jean-Jacques Rousseau a commencé cette sensibilisation, et au cours du dix-neuvième siècle la place de l’individu devenait de plus en plus grande par rapport à la place de l’idée. Les Romantistes tenaient à leurs expériences personnelles, et ils voulaient retourner vers la nature, un état de paix qu’ils croyaient avoir perdu : souvent, les poètes du siècle vivaient en marge de la société qu’ils ne supportaient plus. Le désespoir régnait sur les esprits : le monde n’offrait rien aux Romantistes, ils pensaient souffrir du ‘mal du siècle’ et on était insatisfait. Presque tous les auteurs étaient engagés politiquement : pensons à Victor Hugo, qui était d’avis que le poète devait guider le peuple. Le dix-neuvième siècle a connu beaucoup de régimes politiques : Il y a eu le Consulat, le premier Empire sous Napoléon Bonaparte, la Restauration des Bourbons (une monarchie), la seconde République, le second Empire sous Napoléon III et la troisième République. Pendant tous ces régimes, il y avait un facteur constant : le socialisme. L’homme commun était important, et on se battait pour ses droits sur tous les niveaux. Le poète Lamartine par exemple a fait parti du gouvernement de la Seconde République. Malheureusement, à cette époque le vrai socialisme ne reste qu’une utopie, ce qui fait que les auteurs Romantistes deviennent de plus en plus engagés encore.

Dans la littérature romantique on retrouve beaucoup des idées politiques des auteurs, dû à cet engagement. Tous les genres principales sont représentés : le roman, le théâtre, la nouvelle, la critique et la poésie, les auteurs utilisaient tous les moyens possibles de faire parvenir leurs idées. Le chef des auteurs romantiques a sans aucun doute été Victor Hugo. Né en 1802 et mort en 1885, il a souvent été surnommé ‘la conscience du siècle’. Il a commencé sa carrière avec le goût de la belle forme : une tendance qui se développera dans ‘l’art pour l’art’ et qui sera radicalisée avec ‘le Parnasse’. Vers 1830, Hugo devenait le chef du ‘Cénacle’ un groupe d’artistes romantistes convaincus. Pour propager leurs idées, le champ de bataille était le théâtre, et l’exemple le plus fort de cette bataille est (la bataille et) le triomphe d’Hernani, le deuxième pièce de théâtre de la main d’Hugo. Après 1843 Hugo devient de plus en plus politique, ce qui résultait enfin dans un exil politique d’une vingtaine d’années. Vers la fin de sa carrière il devient même ce qu’on pourrait appeler un précurseur du Symbolisme, quand sa poésie devient de plus en plus ‘voyant’.
Victor Hugo

Le Romantisme est un courant de grands romans : Le Rouge et le Noir, Les Misérables, les romans d’Alexandre Dumas, on n’en finit pas. Un autre auteur de cette époque qui mérite d’être mentionné est Jules Verne. Romancier de métier, il a ‘inventé’ le genre SF, avec ses romans modernes comme Le Tour du monde en 80 jours, pour lesquels il créait des machines et des pays inconnus. Il a écrit sur un voyage vers la lune, un voyage qu’on n’a fait qu’en 1969 ! La poésie aussi est très populaire : Des poètes comme Gautier, Nerval, Musset, Vigny, Lamartine et bien sûr Hugo font leurs carrières avec des recueils parfois très épais. L’auteur romantique se trouve toujours au centre de son propre œuvre, et on adore les contradictions et les répétitions. Le texte vient d’une inspiration spontanée ! Même dans le théâtre le Romantisme se voit : des pièces comme Lorenzaccio de Musset représentent l’émoi interne des personnages principales, et les passions auxquels ils succombent. Pourtant, cette ‘vague de passions’ ne durera pas tout le siècle…

Sources:

http://www.etudes-litteraires.com/romantisme.php (Le Romantisme)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Victor_Hugo (Victor Hugo)

http://www.csupomona.edu/~lfucaloro/fl308/notes/19e_litterature2.html ( la littérature du 19ème siècle)

Le Moyen Âge

Au Moyen Âge, il n’existe pas encore une langue française. On parle un ensemble de dialectes en France, le plus connues sont les langues d’oc et les langues d’oïl. La littérature de cet époque est le plus souvent orale : les trouvères et les troubadours apprennent les histoires par cœur et ils les chantent où récitent. Pour faciliter la récitation, toute la littérature est en vers. Les rares fois que quelqu’un décide de noter ou de recopier une histoire, il arrive souvent que le copiste fait des erreurs, ou qu’il écrit le texte dans son propre dialecte ; ce qui fait qu’on trouve beaucoup de versions différentes d’un seul texte du moyen Âge. En France, la littérature ‘naît’ avec la Séquence de Sainte Eulalie (881), le premier texte littéraire dont vous trouvez ci-dessous la première partie :

Armorie de Ste EulalieBuona pulcelle fut Eulalia ;Bel avret corps, bellezour anima.Voldrent la veintre li Deo inimi ;Voldrent la faire diavle servir.Elle non eskoltet les mals conselliers,qu'elle Deo raniet chi maent sus en ciel.Ne por or ned argent ne paramenz,Por manatce, regiel, ne preiement,Neule cose non la povret omque pleierLa polle sempre non amast lo Deo menestier ;

La Séquence est une hagiographie, une vie de saint. Au début, on trouve surtout des textes religieux, dû à l’influence énorme de l’église : c’était elle qui avait le monopole de l’enseignement, et seuls les hommes bien éduqués ou religieux savaient lire et écrire. L’église gagnait aussi beaucoup à cause du pèlerinage : les quatre routes de pèlerinage en France avaient une influence énorme sur les monastères dans leurs environs. L’hagiographie est un exemple d’un texte de dévotion : les pèlerins aimaient bien des textes concernant leurs saints préférés, et les monastères essayaient d’attirer les pèlerins avec des reliques et des hagiographies de tel ou tel saint.
Dans le premier genre de littérature profane, la chanson de geste, on trouve encore une grande influence religieuse. Les chansons de geste sont des épopées qui racontent les aventures de chevaliers chrétiens contre les païens, ou bien d’un grand seigneur féodal contre ses suzerains. L’idéal du chevalier y est très important et le bien triomphe toujours. Dans les chansons de geste on distingue trois grands cycles (collections de chansons) :
- Le cycle du Roi (le plus grand roi du Moyen Âge : Charlemagne).
- Le cycle de Doon de Mayence, ou bien le cycle des barons révoltés.
- Le cycle de Garin de Monglane (l’ancêtre de Guillaume d’Orange !).
La chanson de geste le plus connu vient du premier cycle ; c’est le Chanson de Roland (1100). Dans cette épopée, Charlemagne offre la paix au roi Sarrasin Marsile, après 7 ans de guerre. Le messager de cette proposition, Ganelon, conspire avec Marsile pour attaquer l’armée de Charlemagne et de tuer Roland, un des chevaliers le plus fidèles à Charlemagne et un ennemi personnel de Ganelon. Cette trahison cause une attaque sur l’arrière-garde de l’armée française : Roland meurt après avoir averti son seigneur, qui prend revanche sur les Sarrasins.
Dans les chansons de geste, beaucoup de faits sont répétés de strophe en strophe : les répétitions sont plus facile pour les troubadours, et le public comprend plus facilement quels événements sont le plus important.
Le système féodale a aussi inspiré la fin’amors et la littérature courtoise. Dans la fin’amors, la Dame est le grand seigneur auquel l’amant jure son fidélité, et l’amant fait de son mieux pour plaire à celle qu’il aime tant. Un bon exemple de littérature courtoise est l’histoire de Tristan et Iseut. De cette histoire de l’amour impossible et fatale du chevalier Tristan pour la femme de son roi, Iseut, il ne nous reste que quelques fragments. Une de ces fragments vient d’un lai de Marie de France : le lai du chèvrefeuille.




CHIEVREFOIL

(….)

Déuls deus fu tut autresi
Cume del chievrevoil esteit
Ki la codre se perneit :
Quant il s’i est laciez e pris
E tut entur le fust s’est mis,
Ensemble poënt bien durer,
Mes ki puis les voelt desevrer,
Li codres muert hastivement
E li chievrefoilz ensement.
« Belle amis, si est de nus :
Ne vus sanz mei, ne jeo sanz vus. »

(….)

CHIEVREFOIL vert. Corine Kisling en
Paul Verhuyk
(….)

Zo was het leven voor hen beiden,
Zoals die kamperfoelie daar,
Die vastzat aan de hazelaar:
Als hij er zich heeft rond gewonden
En langs de stam zijn weg gevonden,
Dan wordt het paar hierdoor gesterkt;
Maar als hun scheiding wordt bewerkt,
Dan sterven saam, door dat gebaar,
Kamperfoelie en hazelaar.
“mooie vriendin, zo leven wij:
Ik leef door u, u leeft door mij!”

(….)



Marie de France est surtout connu pour ses lais, et parce qu’elle a su changer la matière celtique des lais en ajoutant des couches psychologiques et rationalistes, on l’appelle la mère de la nouvelle. Pour la même raison, on appelle Chrétien de Troyes le père du roman : dans ces cinq romans (Perceval, Lancelot, Cligès, Yvain et Erec et Enide ) il a traité la matière du roi Arthur de la même façon, ce qui était bien innovateur pour l’époque.

A côté de la littérature courtoise, on trouve aussi le genre de l’allégorie. Dans une allégorie, rien ne doit être lu littéralement : chaque nom, chaque phrase, chaque lieu a une signification cachée. A notre époque, on dirait que c’est une métaphore continue. Dans l’exemple le plus célèbre de ce genre, le Roman de la Rose, il s’agit d’un jeune homme qui cherche à cueillir une rose. Les forces favorables à l’amour (Bel Accueil, Beauté, Largesse, Franchise etc.) l’aident dans sa quête, tandis que ceux qui sont défavorables essayent de l’arrêter. Tout cela se passe dans un rêve, ce qui donne la possibilité à ces forces d’agir comme des personnages.
Déjà au Moyen Âge, il y avait des féministes ! Christine de Pisan était une des plus ferventes opposantes du Roman de la Rose : elle disait que c’était une œuvre sexiste, qui ne respectait pas les femmes. Voilà un désavantage de l’allégorie : les images utilisés pouvaient s’expliquer de différentes manières… Etant elle-même une poétesse reconnue, Christine de Pisan s’occupait de l’amour comme elle devrait être. Dans une de ses poèmes, une ballade, elle parle de sa solitude après que son homme l’avait quitté.


Christine de Pisan


Sources:

http://giffie.free.fr/site/Pages/B6-10.html (Tristan et Yseult)

http://rabac.com/demo/ELLIT/MVTCOUEC/LITTMA.htm ( L'histoire du Moyen Âge)

http://www.angelfire.com/pq/litterart/moyen.html (L'histoire du Moyen Âge)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Littérature_française_du_Moyen_Âge (L'histoire du Moyen Âge)

Cours du 14 avril "Leergebied"

Le premier cours de la quatrième période.


Cette période on va parler de la littérature européene. Le titre du module est « Schrijvers & Boeken ». Rosa van Wezel sera notre professeur pour cette période.

Au début de la séance, Rosa a distribué et expliqué le manuel d’étude. Nous devrons présenter par groupe de deux un courant littéraire. Je suis dans le groupe avec Malika et on a choisi le Romantisme en littérature. On a de la chance, car la troisième période j’ai présenté la littérature du 19ème siècle. Donc, on doit seulement adapter la présentation.

A part ça, nous devrons travailler, par groupe de 4/5 pour enfin réaliser un webquest. On doit choisir entre les thèmes suivants: L’amour Impossible et l’éternel jeunesse et la beauté. Je suis dans le groupe avec Céline, Malika et Aurèlia et on a choisi l’amour impossible comme thème. Pour simplifier la tâche, Rosa a distribué des articles d’informations sur le webquest. Pour la semaine prochaine nous devrons faire un PAP pour le travail de groupe.

Ensuite, Rosa nous a présenté les différents courants littéraires européene du Moyen-âge à aujourd’hui :

Moyen age
La renaissance
Barok
Le 18ème siècle (siècle des lumières)
Le 19ème siècle (le romantisme, le réalisme. Le naturalisme, le symbolisme)
La littérature moderne

Enfin, Rosa nous a donné son numéro de téléphone et adresse email, en cas des questions.